Le Paradis est un dessin d’enfant, c’est l’histoire d’un été. Cet été-là, il y a Florence, il y a Joshua et Justin, et surtout, il y a le Commissaire Gavard-Perret qui se lance sur la piste d’un fauteur de trouble.
Les trams peuvent bien sauter à condition d’être vides, le sang ne doit pas éclabousser la page, le sang salit suffisamment notre existence. On peut parler de ce qui fait mal mais seulement si l’on n’a pas peur. Les adultes sont des enfants, et les enfants des adultes. Il y a un pont au-dessus d’un fleuve; tout le monde se l’approprie à sa manière. La réponse, on ne sait pas où elle se trouve, mais on sait où elle ne se trouve pas. Et elle ne se trouve pas dans une photographie. La réponse ne se trouve ni à l’école, ni dans une bibliothèque. |