Un ouvrage qui mélange un recueil de contes et de nouvelles et des instants de poésies.
La partie de contes et de nouvelles rassemble des histoires de tout genre. On y trouve celles qui évoquent la peur chez les lecteurs, la tristesse, la joie, le suspense... Les lecteurs auront toujours un moment de questionnement sur les fins qui peuvent être heureuses mais parfois malheureuses.
Le style est très simple et facilite la compréhension pour ceux qui veulent le lire, qu’ils soient petits ou grands.
Les instants de poésies rassemblent des poésies dans lesquelles plusieurs sentiments sont éprouvés: la nostalgie, l’amour, la tristesse, l’espoir, le dégoût...
La nostalgie, le retour en arrière, les souvenirs de mon pays natal, les souvenirs des personnes qui me sont chères..., tout cela se décline dans ces instants avec une sonorité très agréable.
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| En découvrant la poésie dès sa première année d’école primaire, Lionella Perronet-Mercey a pris grand plaisir à composer à son tour des poèmes et a les déclamer du haut des arbres. Au gré du vent reflète ses inspirations d'enfance écrit dans sa contrée d'Italie entre les montagnes et les vallées. Ces poèmes sont une ode à la sensibilité et à la beauté de la nature qui l'entourait. Dans un deuxième ouvrage, Dans le vent des années, Lionella Perronet-Mercey poursuit l’expression de ses émotions….
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| Après Au gré du vent, recueil dans lequel l'auteur partage ses écrits au plus près de la découverte de la poésie, avec Dans le vent des années Lionella Perronet-Mercey exprime ses émotions face au monde des adultes.
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| Le feu au cœur des Hommes Calais, notre amour.
« Ils » viennent chez nous demander aide et abri. « Ils » l’obtiennent, parfois, souvent, mais « ils » rencontrent surtout ignorance et mépris, rejoignant pour la plupart le long cortège des miséreux. Peu à peu, « ils » se rassemblent dans cette « ville dans la ville » grandissante, éphémère hélas ! Car l’étendue de cette cité finit par faire peur. Calés à Calais entre eau et sable, cachés en Cévennes entre garrigue et bancels, cernés partout par la haine et l’indifférence, « ils » se terrent. Heureusement, le miracle survient, des humains les accueillent, leur ouvrent même leur cœur. « Ils » sont alors soutenus, aidés, aimés. Et l’espoir les portant, « ils » se font une place dans la société française, ou ailleurs, ces exilés que nombreux aimeraient invisibles, à défaut de réussir à leur interdire l’entrée et la protection dans les pays où ils arrivent.
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